Envie d’évasion en Nouvelle-Aquitaine ? Inscrit à l’UNESCO, le vignoble de Saint-Émilion forme avec les appellations voisines de Pomerol et de Fronsac un ensemble exceptionnel de sites œnotouristiques. Dépaysement garanti !

Le long des routes qui sillonnent la région, les paysages viticoles et les belles pierres des châteaux en jettent plein la vue. Ici, on cultive aussi bien la vigne que le sens de l’accueil. Pour preuve, les lieux de villégiature se multiplient, avec des offres toujours plus conviviales et originales.

Pour dormir la tête dans les nuages, le Château Franc Mayne, propose une nuit dans sa cabane perchée. Installée sous la canopée majestueuse de cèdres centenaires, l’habitation réserve une vue imprenable sur les vignes et le village de Saint-Émilion. Au Domaine de la Romaningue, on prend également de la hauteur pour rêver sous le ciel étoilé : des cabanes dans les arbres parsèment la vaste exploitation agro-viticole aux côtés de bulles habitables et de roulottes, le tout dans le cadre exceptionnel d’une ancienne commanderie des Templiers.

Autre havre de paix, le Bassin du Tertre de Fronsac offre le gîte dans des chalets 100% bois. Dans le calme du jardin fleuri, bercé par le clapotis du bassin à carpes et les odeurs de vignes, c’est une nuit paisible qui attend les œno-aventuriers.

Certaines expériences nocturnes sont plus immersives que d’autres… et pour cause ! Aux portes de Saint-Émilion, le Château de Bonhoste propose de séjourner dans de véritables foudres conçus par un tonnelier et habituellement réservés à la vinification. Au Château La Mothe du Barry, le marchand de sable passe également dans d’anciennes cuves destinées à l’élevage des vins, aujourd’hui aménagées en chambre d’hôte.

Quant au Château de La Rivière, il offre une véritable parenthèse sur les hauteurs de Fronsac, au bord de la Dordogne. Dotée de cinq chambres d’hôtes somptueusement décorées, cette propriété de charme promet un moment de détente empreint de raffinement.

Une chose est certaine, Morphée a pris ses quartiers dans le Saint-Émilionnais !