Moët & Chandon vous ouvre les portes de ses caves, les plus grandes de Champagne. Des galeries sans fin, chargées d’histoire, à découvrir lors d’une visite incontournable, suivie d'une dégustation de… champagne !

Sous l’avenue de Champagne, à Epernay, les caves Moët & Chandon, patrimoine exceptionnel de la Maison, offrent le témoignage unique de plusieurs siècles d’élaboration. Gardiennes d’un véritable trésor, les plus grandes caves de Champagne conservent la mémoire du talent et du travail des hommes. Pénétrez dans 28 km de galeries, dont les plus anciennes datent de la fondation de la maison, en 1743. Creusées dans le colossal blanc de craie champenois, elles s’étendent sur plusieurs niveaux sous la ville et apportent la fraîcheur et l’humidité nécessaires à la lente maturation des célèbres bulles. C’est dans la quiétude de ces lieux que les champagnes Moët & Chandon développent leur style unique, leur caractère complet, généreux et dynamique.

Dans la pénombre de ce labyrinthe souterrain légendaire, les galeries se croisent et se recoupent… sans jamais se ressembler !

Explorez ce labyrinthe souterrain légendaire et ses nombreux caveaux. Les bouteilles des plus grands millésimes y reposent, bien à l’abri. Dans la pénombre, le guide vous ouvre le chemin dans des galeries qui se croisent, se recoupent… sans jamais se ressembler.

Rejoignez les œnologues qui vous dévoilent les secrets de l’élaboration des vins Moët & Chandon et l’héritage d’un savoir-faire enrichi et transmis à travers plusieurs générations de chefs de cave. La visite des caves s’achève par la dégustation d’une flûte de champagne avec les sommeliers de la maison.

Des réceptions magiques dans un cadre somptueux

La maison Moët & Chandon accueille toutes sortes de réceptions dans le somptueux décor de ses caves. Le caveau de Napoléon offre une ambiance unique dans un cadre exceptionnel, idéal pour les dîners de gala, cocktails, soirée dansante… C’est dans ce lieu magique que Jean-Rémy Moët, alors maire d’Epernay, reçut la Croix de la Légion d’Honneur des mains de Napoléon, son ami et fidèle client.

Au-dessus des caves, dans le magnifique domaine Moët & Chandon, l’Orangerie, construite au XIXe siècle, s’ouvre sur un élégant jardin à la française propice à l'organisation d'événements. Le cœur du champagne bat dans ces lieux historiques… Une visite incontournable pour l’œnotouriste !

Au fil des 18 km des caves Mercier, tout a été conçu pour impressionner le visiteur : ascenseur panoramique, bas-reliefs monumentaux, tonneau géant… Pour finir par la dégustation d’une flûte de champagne !

Fondée en en 1858, la Maison Mercier est forte d’une histoire bien différente de celle des maisons de champagne de son époque. Une spécificité due à la personnalité haute en couleur d’Eugène Mercier. Visionnaire et anticonformiste, il bouscule les traditions champenoises en créant un « champagne pour toutes les occasions ». Le champagne n’est plus réservé à l’élite, mais reste d’une qualité remarquable.

Conçues pour impressionner, les caves Mercier sont parmi les plus visitées en Champagne avec plus de 100 000 œnotouristes par an.

Pour faire connaître sa marque, il multiplie les coups publicitaires : bar volant dans un ballon attaché au pied du château de Vincennes (emporté par le vent jusqu’en Belgique !), film avec les Frères Lumière…

À Épernay, la famille Mercier ouvre des caves exceptionnelles pensées par leur audacieux grand-père. Conçues pour impressionner, les caves Mercier restent à ce jour parmi les plus visitées en Champagne avec plus de 100 000 œnotouristes par an.

Ascenseur panoramique, bas reliefs monumentaux et foudre géant

La visite débute par un film qui retrace l’histoire du fondateur Eugène Mercier. Empruntez l’ascenceur panoramique et vous voilà à 30 mètres sous terre ! À bord du petit train, muni d'un audioguide multilingue, parcourez une partie des 18 km d’impressionnants tunnels. Ces caves sont les premières à avoir été conçues de plain-pied et de manière géométrique, en s’inspirant du plan de New York pour être facilement accessibles aux visiteurs !

Les splendides galeries ornées des gigantesques bas-reliefs en craie de Gustave Navlet défilent sous vos yeux. Sous les voûtes élevées, on est saisi par le célèbre foudre géant, un immense tonneau d’une contenance de 213 000 bouteilles !

De retour à la surface, on déguste avec délectation une flûte de champagne Mercier. Au bout des galeries, le caveau de Bacchus se révèle être un site de réception inattendu. Sous des voûtes de 15 m de hauteur, ce somptueux espace est orné de deux gigantesques fresques taillées dans la craie. Un lieu idéal pour prolonger l'expérience lors d'un événement personnel ou professionnel : séminaires, cocktails, mariages…

Amoureux de gastronomie et de l’armagnac, de villages typiques et de vieilles pierres, de vallons et de rencontres, ce circuit à vélo a été conçu pour vous…  

Il permet d’atteindre le cœur des bastides gersoises, telle que le Château de Maniban en photo ci-dessus et d’apprécier sa campagne verdoyante, ses champs de tournesols, ses trésors patrimoniaux, ses vignobles vallonés. Le circuit « Gers et bastides d'Armagnac à vélo » prévoit six jours et cinq nuit pour traverser le département du Gers riche en couleurs et en produits du terroir. Personne ne quitte cette terre historique, patrie de d'Artagnan, sans avoir goûté au célèbre foie gras de canard et dégusté le célèbre armagnac.

Terre de vin, l’Alsace cultive sa tradition festive. Fêtes des vins, marches gourmandes, festivals, marathons : tout au long de l’année, les villages viticoles célèbrent les vins d’Alsace !

Les traditions festives et calendaires sont ancrées dans l’art de vivre alsacien depuis le Moyen Age. Dès janvier, les rois sont fêtés dans les villages avec des galettes et un verre de vin d’Alsace. En février, le vignoble s’éveille au rythme des carnavals.

Les traditions festives et calendaires sont ancrées dans l’art de vivre alsacien depuis le Moyen Age.

À Pâques, les villages de la route des vins se parent de décorations pour accueillir les chasses aux œufs et les fameux marchés de Pâques. C’est le début de la saison des salons des vins, marchés et manifestations viticoles. Jusqu’en octobre, les villages organisent des évènements traditionnels, insolites, sportifs… et toujours festifs.

Été comme hiver, les vins d’Alsace sont de toutes les fêtes

L’été alsacien se vit au rythme des nombreuses fêtes des vins. Les caves ouvrent leurs portes, les vignerons organisent des dégustations originales et les cortèges et bals populaires font revivre les coutumes d’antan. Plutôt sportif  ? Participez aux marches gourmandes, au Slow Up ou au Marathon du vignoble.

En automne, période des vendanges, le vin nouveau est à l’honneur. Enfin, dès fin novembre vient la saison du célèbre Noël alsacien. Les féeriques marchés de Noël illuminent les rues et laissent échapper des odeurs de pain d’épices et de vin chaud. De nombreux viticulteurs vous reçoivent dans leur domaine magnifiquement décoré et vous proposent un programme d’animations autour de dégustations de vins d’Alsace et autres douceurs de Noël.

Au cœur du vignoble alsacien, partagez avec les vignerons une expérience de dégustation unique, pour une découverte insolite des grands crus.

Fini les dégustations de vin traditionnelles ! Au cœur de la vallée de Kaysersberg, les viticulteurs de la "Parenthèse vigneronne" vous concoctent des dégustations thématiques insolites. Ressentez l’énergie des vignes vous envahir lors d’une séance de qi gong, jouez et testez vos cinq sens dans un voyage sensoriel interactif, laissez-vous surprendre par l’union vin-chocolat… Curieux en biodynamie et amateurs de fromages trouveront aussi leur bonheur. Une dizaine d’animations hors des sentiers battus, avec en point d’orgue une dégustation des grands crus d’Alsace. 

À la croisée du Rhône et du Vivarais, à proximité des plus beaux sites d’Ardèche, un vigneron bio fait partager sa passion des vins du Rhône à 80 mètres sous terre, dans l’intimité de la grotte de Saint-Marcel. 

Expérience sensorielle unique garantie ! Raphaël Pommier, propriétaire audacieux du domaine Notre-Dame de Cousignac, en Ardèche, fait vieillir sa cuvée « Vinolithic » dans la grotte de Saint-Marcel-d'Ardèche. Pari fou, il propose de le suivre pour une expérience de dégustation unique à… 80 mètres de profondeur. Équipés d’une combinaison, d’une lampe frontale, d’un baudrier, de cordes et de tous les équipements de sécurité nécessaires, les amateurs de sensations nouvelles descendent en rappel pour rejoindre les fûts de chêne où repose pendant six mois le côtes-du-rhône villages bio de Raphaël Pommier.

Cette expérience insolite offre des sensations de dégustation incomparables : un silence parfait, le plaisir d’arpenter le terroir de l’intérieur, le contact avec une nature préservée.

La grotte, composée essentiellement de calcaire, apporte toutes les conditions pour un vieillissement optimal du vin : un écrin minéral, le noir absolu, une température constante de 14 °C et un taux d'humidité de 90 %.

Une cavité à quelques kilomètres de la grotte Chauvet

Cette expérience insolite offre aussi des sensations de dégustation incomparables : l’accès à un site parfaitement singulier où règne un silence parfait, le plaisir d’arpenter le terroir de l’intérieur, le contact avec une nature préservée. Un sentier de découverte appelé "Le Chemin de la grosse pierre" permet de découvrir sereinement ce site immense et féerique qui abrite de vastes salles et des cascades.

Pour les œnotouristes les moins téméraires, le domaine Notre-Dame de Cousignac, fort d'une longue tradition d’accueil, propose en surface plusieurs formules de dégustations classiques. À quelques kilomètres seulement, la réplique de la grotte Chauvet, la plus ancienne grotte ornée du monde (36 000 ans), permet de découvrir un site majeur classé au Patrimoine mondial de l’humanité.

Depuis 1992, cette chartreuse historique expose d’illustres artistes contemporains, et fait rayonner l’esprit épicurien de la famille Cazes, également propriétaire de Château Lynch-Bages, à Pauillac.

À 45 minutes de Bordeaux, entre Gironde et océan Atlantique, dans un écrin de vignes à l’entrée de Pauillac, Château Cordeillan-Bages propose une balade hédoniste au patrimoine de la gastronomie et des expériences sensorielles. Sur l’initiative de Jean-Michel Cazes, désireux de voir naître des œuvres inspirées par le vin, Pierre Alechinsky fut le premier à illustrer le millésime 1989.

Des artistes de renom sont exposés à Château Cordeillan-Bages : Alechinsky, Emilio Perez, Antoni Tapies, Gérard Titus-Carmel, Jean Scully, Barthémémy Toguo…

Des artistes de renom se sont depuis succédés : Sandro Chia, Eduardo Arroyo, Emilio Perez, Antoni Tapiès, Gérard Titus-Carmel, Jean Scully, Tan Swie Hian… Autant d’œuvres que l’on retrouve au fil des expositions à Lynch-Bages dans l'hôtel  et dans le restaurant gastronomique.

Quand l'art contemporain s'invite à la carte du restaurant étoilé 

À chaque saison, le chef du restaurant du Château Cordeillan-Bages, s'inspire de l'univers Lynch-Bages pour créer un menu, certains mets inspirés des expositions sont maintenus à la carte toute la saison. Le dessert "Fraîcheur" fut ainsi décliné à partir d'un tableau d'Alechinsky ! Trois œuvres de Tapiès ornent les murs du restaurant, sélectionné pour le circuit "Art & Vin" proposé par l’office du tourisme de Bordeaux.

Animée par un désir de partage pour ses vins comme pour sa collection d'art, la famille Cazes met un point d'honneur à exposer des œuvres dans les différents lieux de vie du pittoresque village de Bages. L’école de dégustation est aussi décorée de tableaux, tandis que le Café Lavinal présente des artistes locaux. Jean-Charles Cazes raconte l’esprit des lieux ouverts aux locaux comme aux visiteurs venus du monde entier.

Créateur de La Cuisine de Santé® à Eugénie-les Bains, le charismatique Michel Guérard, trois étoiles au Michelin, est également producteur dans l'appellation tursan, dans les Landes. « Un cuisinier, dit-il, se doit de savoir faire le pain et le vin…»

Du piano au pressoir : par quel hasard de la vie êtes-vous devenu vigneron ?

Apprenti dans les années 50, encore marqué par les restrictions de la Seconde Guerre mondiale, j’ai comme beaucoup développé l’art de la débrouillardise. J’ai par exemple participé à l’élaboration d’un vin blanc issu du cépage aujourd’hui interdit, le noah, qui rendait un peu fou… et qui nous servait à cuire des poissons. De même, nous distillions une fois par an, en toute clandestinité, une eau-de-vie des plus réussies. J’ai toujours considéré qu’un cuisinier se devait de savoir faire le pain et le vin. C’est ainsi que, juste avant de planter notre vignoble au Château de Bachen, j'ai acquis, durant sept mois à l’Institut œnologique de Bordeaux, l’essentiel de ce métier captivant.

Quelles traditions viticoles vous inspirent ?

La vigne est une leçon de vie permanente. J’ai toujours été séduit par cette forme de fatalisme élégant dont le vigneron sait faire preuve à l’endroit des caprices météorologiques. La fièvre des joyeuses vendanges vient ensuite estomper ce malaise et le vin continue d’inspirer des conversations passionnées.

Quels sont les accord mets-vins que vous adorez bousculer ?

Il m’est arrivé d’oser marier le caviar au sauternes ! Ou de proposer un verre de barsac ou de jurançon quasi glacé pour apaiser le feu d’un poulet imprégné de poivre mignonette grillé sur des braises ardentes, et sous la peau duquel j’ai glissé une purée ébène composée d’olives et d’anchois. Essayez, c’est divin !